Pièces Uniques réinterprète l'attirail scolaire en partenariat avec adidas
La marque française présente sa dernière collection à travers une odyssée visuelle
27 Février 2024
«Je souhaite que cette collection évoque les doux moments d'amitié et d'amour pendant l'adolescence, ce moment précieux où nous sculptons notre identité, notre personnalité et notre style, celui où nous faisons la découverte de nous-mêmes.» Pour célébrer le lancement de la collection printemps-été 2024, intitulée J'aime pas l'école et prévue pour le 28 février, Pièces Uniques et adidas ont uni leurs talents pour créer une expérience cinématique singulière. À travers le prisme de la culture asiatique, qui a été la principale source d'inspiration pour le créateur de cette collection, le récit se dévoile avec authenticité et finesse. Inspiré par des réalisateurs légendaires tels qu'Hirokazu Koreeda, Hou Hsiao-hsien et d'autres, le directeur artistique puise dans ces influences pour sublimer la vie quotidienne, évoquant les récits d'enfance de ses parents. Chaque scène se déploie comme un tableau statique, soigneusement façonné avec des nuances délicates de couleur et de lumière, mettant en lumière les personnages et leur essence émotionnelle.
Pour la création de son tout premier court-métrage, Edmond Luu a puisé son inspiration dans son propre passé en explorant les anciennes photographies de l'enfance de sa mère au Vietnam et en s'inspirant de ses uniformes scolaires. Les tenues, spécialement élaborées pour les acteurs, mettent en scène des pièces exclusives issues de la collection, couvrant tout le répertoire de l'habillement scolaire, du “sailor fuku” à la varsity jacket. Elles sont soigneusement agrémentées d'une touche finale réfléchie, avec l'ajout des adidas SL72 pour parfaire l'ensemble. Intitulée Première fois, cette œuvre a choisi le Japon comme toile de fond pour capturer l'essence de l'amour, de l'amitié et de la nostalgie douce-amère qui accompagne les souvenirs chéris de la jeunesse. La bande sonore accompagne parfaitement le film, avec la chanson "The Moon Represents My Heart" de Teresa Teng, une icône taïwanaise des années 70 et la préférée de la mère d'Edmond, réinterprétée par l'artiste coréen Gemini, ajoutant ainsi une résonance culturelle poignante.